jeudi 20 juillet 2017

Le prêtre : Mon dieu, l'acte !

Oui il est temps, je sais, il est temps que je vous en parle.

Vous ai-je déjà montré la taille de sa queue? Non mais sérieux, un beau gâchis pour toutes ces p'tites pucelles qui ne peuvent accéder à cet agneau de dieu. Dans quel état d'esprit étais-je quand je l'ai enjambé pour masser son dos huilé ? J'étais comme waw: j'ai l'impression d'être un petit ange égaré, complètement nu cherchant à tout me faire pardonner ... De ce que j'ai pu faire dans ma vie de répréhensible, et même pour les actes futurs que j'allais commettre incessamment sous peu, et même même pour les actes commis par mes fidèles et enjôleurs lecteurs, Amen. Cette idée donna chaud à mon entre fesses. Ci tôt excité, posé sur ses cuisses, la chaleur me faisait glisser. Heureusement, ma peau si douce et la sienne si dure, en corrélation.
J'attends, impatient mon baptême.



Ne tenant plus, il se retourne en un mouvement, me faisant basculer sur le ventre à coté de lui. Sa main posée dans le bas de mon dos me caresse subitement les reins. Je constate alors qu'il bande comme un âne, sa verge fait pression contre ma cuisse. Il me regarde dans les yeux, et je lui rends son regard, comme possédé. Il me met sa main droite sur la bouche pour ne pas que je gémisse trop fort ( les murs n'étaient pas si épais dans le presbytère ) et de sa main gauche effleure tout mon dos de son index pour remonter jusqu'à mon épaule. Là, il ouvre la bouche, sort sa langue et lèche son doigt d'un air très très provocateur. Il redescend pour plonger celui ci en moi, sans grand ménagement.
Cela me fit tourner les yeux et gémir entre ses doigts plaqués contre ma bouge.
C'est alors qu'en levant la tête, je vois cette homme accroché à cette croix contre ce mur. Il me regardait aussi, mais pas en jugement ... pas en pitié non plus. J'avais l'impression d'être "agréé" à donner et à recevoir.
Je regarde mon prêtre, les yeux rouge de désirs alors que ces deux doigts s'amusent à dessiner mon intimité de plus belle, et lui demande alors de bien vouloir procéder au sacrifice. Oh seigneur, il ne lui fallut pas plus d'un quart de seconde pour me monter comme ça, tirer mes fesses, cracher sur sa queue et pousser jusqu'à toucher mon âme...

POuaaaah, mélange de plaisir et de pression immense. Je ne répondait plus de moi. Sa paume de main plaquée contre ma joue. Il grognait à chaque sacrement. Il m' honorait de sa danse et mon corps pailleté de fourmillements. Je levais les fesses sous ses coups, comme ci je lévitais !
Après cette bonne collection de coups de cierge. Je ne tenais vraiment vraiment plus, et il me fallait dominer cette situation.
A mon tour, je le fais basculer, et lui lèche sa grosse queue bien dure et sensible. Je me rapproche de son torse et prends ses poignets pour les caler à coté de ses hanches. Je pose ensuite chacun de mes pieds sur eux, pour qu'il ne puisse bouger. Et puis je m'empale sans justice pour ses sens. Il fond en moi sous mes bonds, de plus en plus rythmé sous le chant de ses cris. Insoutenable, j'imagine, je le regarde lever à son tour les yeux et sa respiration n'avait plus de sens. J'accélère et sa main droite se libère de mon emprise, s'attache à mon cou et au même moment un flux d'émotions divines jaillissent contre les cloisons de mon antre, d'une chaleur infernus !

Il me bénit de ses yeux doux et m'embrasse tendrement le front.

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